La loi Girardin Outremer vous séduit pour la possibilité de défiscaliser de manière conséquente. Il existe pourtant des pièges dans l’exécution de ce montage, qu’il est crucial d’éviter afin de pouvoir mener votre placement à terme et réduire vos impôts en toute sécurité.
Le manquement aux obligations juridiques
Il est important de se conformer à l’ensemble des obligations juridiques qui font la particularité de la loi Girardin Outremer. Ce, afin d’éviter l’éventualité d’un redressement fiscal. Pour cela, savoir choisir le bon spécialiste en montage de dossier est déterminant pour l’investisseur. Celui-ci devra enregistrer plusieurs années d’expérience dans cette activité, ainsi que dans la gestion des sociétés de portage constituées. En effet, l’investisseur devient actionnaire d’une SNC ou d’une SAS.
La responsabilité de l’investisseur dans une SNC ou une SAS
La SNC et la SAS font partie des sociétés à responsabilité illimitée ou SARI. C’est-à-dire que les risques sont illimités. Les actionnaires peuvent éventuellement poursuivre un associé dans le cadre du remboursement des dettes de la société. La responsabilité de l’investisseur peut alors être pleinement engagée. La SNC est en outre une société dite à responsabilité indéfinie et solidaire. Ce qui fait du placement un investissement risqué. Par conséquent, il est capital de sécuriser le montage tout au long de l’exploitation, soit 5 ans, afin que les dettes soient remboursées et la défiscalisation réalisée selon les attentes et les estimations prévues.
Le choix du spécialiste en Girardin Outremer
De ce qui précède, l’investisseur se fera conseiller par un bon spécialiste en Girardin Outremer. Celui-ci doit également proposer de multiples garanties afin de pérenniser le placement tout au long de la période conventionnelle. Parmi ces garanties : la garantie de bonne gestion de la société de portage (SNC ou SAS), ainsi que la garantie de remboursement en cas de défaillance du montage.
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